Pourquoi parler du syndrome de Diogène à Marseille aujourd’hui ?

À Marseille, ville populaire et diverse de plus de 870 000 habitants selon l’INSEE (2022), les réalités sociales peuvent être parfois complexes et invisibles. Le syndrome de Diogène, qui pousse certaines personnes à accumuler de manière compulsive des objets ou déchets dans leur logement jusqu’à rendre l’habitat insalubre, en fait partie. Ce phénomène, bien que peu médiatisé, touche toutes les classes sociales, tous les âges, et devient une problématique de santé publique, d’hygiène, mais aussi de dignité humaine.

Extreme Clean Marseille, entreprise spécialisée dans le nettoyage extrême, intervient régulièrement dans ce type de situations avec une approche humaine, rigoureuse et respectueuse.

Cet article vise à informer, comprendre et aider, sans jugement ni objectif commercial, tous ceux qui pourraient être confrontés à une situation de syndrome de Diogène, que ce soit dans leur entourage ou pour eux-mêmes.

Comprendre le syndrome de Diogène : bien plus qu’un simple désordre

Qu’est-ce que le syndrome de Diogène ?

Le syndrome de Diogène est un trouble du comportement qui se manifeste principalement par une négligence extrême de l’hygiène personnelle et domestique, une tendance à l’isolement social, et surtout, une accumulation massive d’objets, déchets ou aliments avariés. Contrairement à une idée reçue, ce n’est pas uniquement un symptôme de pauvreté : il peut aussi toucher des personnes ayant un haut niveau d’éducation ou de revenus.

Selon une étude du CNRS (2017), il s'agit d’un trouble psychique complexe, souvent associé à d’autres pathologies : troubles obsessionnels compulsifs, dépression sévère, démence ou troubles de la personnalité.

Pourquoi à Marseille ?

Marseille, comme toutes les grandes métropoles, est confrontée à des situations de précarité, d’isolement social, mais aussi à des problématiques de santé mentale parfois sous-diagnostiquées. D’après l’INSEE, près de 26% des Marseillais vivent sous le seuil de pauvreté, ce qui favorise l’apparition de troubles liés à l’isolement, à la perte d’autonomie ou à la détresse psychologique. La densité de logements anciens, souvent mal isolés et difficiles à entretenir, aggrave encore la situation dans certains quartiers.

Les conséquences d’un logement en état Diogène : bien plus que de la saleté

Un danger pour la santé

Un appartement Diogène n’est pas simplement en désordre. Il devient un foyer d’insalubrité extrême. On y trouve souvent :

• Des déchets en putréfaction

• Des excréments (humains ou animaux)

• Des insectes (cafards, mites, punaises de lit)

• Des moisissures toxiques

• Une contamination de l’air ambiant

Ces conditions exposent non seulement l’occupant à de graves infections, mais aussi les voisins (odeurs, risques d’incendie, propagation d’insectes).

Un risque juridique

Un logement en état Diogène peut entraîner un signalement auprès de la mairie, de l’ARS (Agence régionale de santé) ou du syndic de copropriété. Cela peut mener à des procédures d’expulsion, voire à une déclaration d’insalubrité.

Une souffrance psychologique profonde

Il est essentiel de ne jamais oublier la dimension humaine. Une personne en situation de syndrome de Diogène ne choisit pas volontairement cet isolement ou cet environnement toxique. Il s’agit bien souvent d’un mécanisme de défense face à des traumatismes profonds, des pertes (deuil, séparation) ou une maladie mentale non traitée.

Comprendre les différents niveaux de Diogène

Il est fondamental de souligner que le syndrome de Diogène ne se manifeste pas toujours de la même manière. On distingue plusieurs degrés de gravité :

• Diogène modéré : Le logement reste accessible, mais l’accumulation de papiers, objets divers, vêtements ou emballages commence à poser problème.

• Diogène sévère : Les pièces deviennent difficilement accessibles, les déchets s’accumulent, des odeurs apparaissent, et l’hygiène personnelle est souvent très dégradée.

• Diogène extrême : L’habitat est totalement insalubre, infesté d’insectes ou de rongeurs, avec des déchets organiques en décomposition, voire des animaux morts.

Chaque niveau nécessite une approche différente en termes d’équipement, de méthode et surtout d’accompagnement humain.

Causes et profils types : une diversité de parcours

Le syndrome de Diogène est un trouble du comportement souvent associé à des pathologies psychiques sous-jacentes. Selon une publication de l’INSERM, il peut être la conséquence de :

• Dépressions chroniques ou troubles anxieux sévères

• Troubles obsessionnels compulsifs (TOC)

• Démences dégénératives comme Alzheimer

• Troubles de la personnalité évitante ou schizoïde

• Chocs émotionnels majeurs (deuil, rupture, licenciement)

Les profils les plus fréquemment observés incluent :

• Des personnes âgées isolées

• Des individus ayant subi une rupture familiale ou un traumatisme psychique

• Des personnes avec des antécédents psychiatriques non suivis

À Marseille, ville marquée par les contrastes sociaux, l’isolement et la précarité renforcent le risque de glissement vers un comportement Diogène.

Statistiques générales du syndrome de Diogène en France

Selon les données disponibles de l’Assurance Maladie, du ministère de la Santé et des recherches académiques (comme celles du Professeur J.-M. Danion, psychiatre), il est estimé que le syndrome de Diogène touche environ 30 000 à 40 000 personnes en France. Toutefois, ce chiffre est probablement sous-estimé, en raison de la nature même du trouble, qui pousse les personnes à se replier sur elles-mêmes et à refuser toute aide.

Voici quelques éléments chiffrés pour situer le phénomène :

• 70 % des cas concernent des personnes âgées de plus de 65 ans.

• 60 % sont des femmes, notamment veuves ou isolées.

• Dans 80 % des cas, la personne ne fait pas appel à des services sociaux ou de santé.

• 90 % des situations sont repérées de manière fortuite : plainte du voisinage, intervention des pompiers, décès...

Ces données posent un défi immense aux services sociaux et de santé, notamment en zone urbaine dense comme Marseille.

Le cas particulier de Marseille : contexte socio-économique

Marseille, deuxième plus grande ville de France avec plus de 870 000 habitants (INSEE 2022), présente des caractéristiques qui peuvent aggraver ou faciliter l'apparition du syndrome de Diogène :

• 25 % de la population vit sous le seuil de pauvreté.

• 40 % des logements dans certains quartiers du centre-ville sont considérés comme indignes ou dégradés (source : DREAL, 2021).

• Le vieillissement de la population y est prononcé, avec une part de + de 65 ans atteignant près de 20 % dans certains arrondissements.

Ces facteurs – précarité, vieillissement, isolement – sont tous des terrains favorables au développement du syndrome de Diogène.

Combien de cas de syndrome de Diogène à Marseille ?

Aucune base nationale ne centralise de manière exhaustive les cas de Diogène par ville. Cependant, plusieurs indicateurs permettent d’estimer l’ampleur du phénomène à Marseille :

• Selon le CCAS de Marseille (Centre communal d'action sociale), on recense environ 500 à 800 situations traitées par an impliquant des conditions de vie dites pathologiques (diogène, syllogomanie, insalubrité grave).

• Le SAMU social de Marseille estime que près de 200 signalements annuels pourraient correspondre à des cas avérés de Diogène.

• Les bailleurs sociaux (notamment Marseille Habitat et Erilia) rapportent entre 100 et 150 interventions annuelles pour des logements déclarés inhabitables pour cause d’accumulation extrême et de saleté chronique.

• Enfin, les pompiers (SDIS 13) interviennent environ 50 fois par an dans des logements en danger sanitaire immédiat, souvent révélateurs d’un syndrome de Diogène non identifié.

Ainsi, en croisant ces données, on peut estimer que Marseille pourrait compter entre 500 et 1 000 cas récurrents de Diogène chaque année, sans compter les cas non signalés.

Comparaison avec d’autres villes françaises

Si l’on compare Marseille à d’autres grandes métropoles françaises :

Ces chiffres montrent que Marseille, bien qu'en deuxième position en volume brut, est parmi les villes les plus touchées en proportion. Cela s’explique notamment par une forte concentration de personnes âgées isolées et un tissu urbain parfois vétuste.

Quels quartiers de Marseille sont les plus concernés ?

D’après les signalements des services sociaux, pompiers et bailleurs, les arrondissements les plus touchés par les cas de Diogène sont :

• 1er, 2e et 3e arrondissements : centre-ville ancien, habitat souvent insalubre, forte précarité.

• 14e et 15e arrondissements : zones en grande difficulté sociale, nombreuses personnes âgées seules.

• 6e et 7e arrondissements : cas plus invisibles, mais présents chez des personnes âgées vivant seules dans de grands appartements.

Le syndrome de Diogène n’épargne pas les quartiers plus aisés, mais y reste plus discret, souvent pris en charge par la famille ou dissimulé plus longtemps.

Qui détecte les cas à Marseille ?

La plupart du temps, le repérage ne vient pas directement de la personne concernée, mais :

• des voisins incommodés par les odeurs ou les nuisibles,

• du syndic ou du propriétaire,

• des pompiers lors d'une intervention,

• du service d’hygiène de la Ville de Marseille,

• ou encore de médecins généralistes ou infirmiers à domicile.

L’un des problèmes majeurs, comme dans le reste de la France, est le refus d’aide : dans plus de 60 % des cas, la personne nie la situation ou refuse les soins. Cela rend la prise en charge difficile et lente.

Quelles sont les conséquences sanitaires ?

Vivre dans un logement encombré, insalubre, sans hygiène pose plusieurs risques :

• Accidents domestiques (chutes, incendies, intoxications).

• Problèmes respiratoires (poussières, moisissures).

• Infestations (rats, cafards, punaises).

• Malnutrition et déshydratation.

• Détresse psychologique accrue.

Les professionnels de santé et les équipes médico-sociales signalent également un taux de mortalité accru chez les personnes en situation de Diogène non suivie.

Comment se déroule un nettoyage Diogène ? Le processus chez Extreme Clean Marseille

1. L’évaluation du site

Chaque situation est unique. La première étape consiste à visiter les lieux (parfois en présence d’un proche ou d’un assistant social) afin de comprendre l’ampleur de l’intervention : surface à traiter, volume à évacuer, présence d’objets dangereux, état des sols et murs, odeurs, moisissures, etc.

Cette phase permet aussi d’identifier des objets de valeur ou à conserver (papiers administratifs, souvenirs, bijoux), souvent enfouis sous les déchets.

2. La désinfection préalable (si nécessaire)

Avant de commencer l’enlèvement, une désinfection de l’air et des surfaces peut être réalisée si l’environnement présente des risques biologiques (urine, sang, excréments, moisissures nocives). Cela permet de sécuriser l’intervention.

3. Le débarras et le tri

Les objets sont triés : ce qui est récupérable est mis de côté, les déchets sont conditionnés, évacués dans des bennes spécialisées, parfois en centre de traitement agréé pour les déchets infectieux (DASRI).

4. Le nettoyage et décontamination

Les surfaces sont entièrement lavées, désinfectées, souvent à l’aide de produits professionnels bactéricides, fongicides et virucides. Des machines à vapeur sèche ou à ozone peuvent être utilisées pour éliminer les germes en profondeur.

5. La désinsectisation et la dératisation

Si la présence d’insectes ou de rongeurs est avérée, une étape de désinsectisation ou de dératisation est intégrée.

6. La remise en état (si demandée)

Il arrive que des travaux de petite rénovation soient nécessaires : repeindre les murs, changer les sols, réparer des sanitaires, installer des meubles de base. Cela permet de rendre le logement à nouveau vivable.

Déroulé détaillé d’une intervention Diogène : jour par jour

Jour 1 : Repérage, audit du logement, identification des risques (présence d’excréments, moisissures, objets dangereux, seringues…).

Jour 2 : Désinfection préliminaire de l’air avec nébulisation, ventilation, pose de protections.

Jour 3 à 5 : Tri, évacuation des déchets, débarras. Conditionnement des objets selon leur dangerosité (alimentaire, médical, toxique).

Jour 6 : Nettoyage en profondeur : lessivage des murs, traitement des sols, dégraissage, élimination des moisissures.

Jour 7 : Désinsectisation si nécessaire (cafards, punaises de lit), dératisation le cas échéant.

Jour 8 : Petits travaux de remise en état (pose de lino, peinture basique), désodorisation, restitution aux proches ou à la personne concernée.

Pourquoi ce type d’intervention nécessite expertise et respect

Un métier à part entière

Nettoyer un logement Diogène n’est pas du simple ménage. C’est un métier spécialisé, à la croisée entre l’hygiène hospitalière, la psychologie et la gestion de crise.

Les intervenants doivent être formés, équipés (combinaisons, masques, gants, filtres HEPA) et sensibilisés à la dimension humaine de l’intervention.

L’importance de ne pas juger

Le plus important dans ces interventions est l’absence de jugement. Chaque personne a une histoire. Le rôle de l’entreprise comme Extreme Clean Marseille est d’accompagner, de restaurer un lieu de vie, et parfois même de contribuer à la reconstruction d’une personne.

Matériel et techniques spécifiques utilisés

• EPI complets : gants nitrile, combinaison Tyvek, masques FFP3

• Produits professionnels : désinfectants hospitaliers, fongicides, bactéricides virucides

• Machines : aspirateurs HEPA, générateurs d’ozone, injecteurs-extracteurs, machines vapeur sèche

• Méthodes : nébulisation, pulvérisation, encapsulation des zones contaminées

Ce matériel garantit la sécurité des intervenants et une éradication des sources pathogènes.

Préparer l’intervention : conseils pour les proches

Avant l’arrivée des équipes spécialisées, voici ce que vous pouvez faire :

• Préparer un sac d’effets personnels pour la personne concernée

• Identifier les objets importants (papiers d’identité, bijoux, photos)

• Informer les voisins si une désinsectisation est prévue

• Protéger les animaux domestiques en les plaçant ailleurs

• Éviter de brusquer ou de juger la personne malade

Qui peut faire appel à ce type d’intervention à Marseille ?

Familles et proches

Souvent, ce sont les enfants adultes, frères ou sœurs qui découvrent la situation lors d’une visite ou après un incident (hospitalisation, décès, chute). Ils se retrouvent seuls, désemparés face à l’ampleur de la tâche.

Travailleurs sociaux et services médicaux

Les hôpitaux, EHPAD, services sociaux de la ville de Marseille ou des hôpitaux publics peuvent être amenés à solliciter des nettoyages extrêmes après l’hospitalisation d’un patient, un retour à domicile ou une prise en charge psychologique.

Syndics, bailleurs et collectivités

Les bailleurs sociaux ou privés peuvent être confrontés à un logement signalé par le voisinage. La copropriété ou la municipalité peuvent aussi intervenir en cas de risque sanitaire avéré.

Cadre légal et responsabilités

Un logement en situation Diogène peut faire l’objet d’une procédure d’insalubrité (article L1331-22 du Code de la santé publique). Dans ce cas, les autorités locales peuvent :

• Imposer la remise en état du logement

• Protéger la personne via une mise sous curatelle ou tutelle

• Intervenir via le CCAS ou les services sociaux

Les proches ou les syndics peuvent également saisir la mairie ou l’ARS pour signaler un risque sanitaire grave. Dans certains cas, le juge des tutelles peut autoriser une intervention même sans le consentement de la personne.

Prévenir les rechutes : un enjeu majeur

Une fois le logement nettoyé, le risque de rechute est réel si aucun suivi n’est mis en place. Voici quelques solutions :

• Accompagnement par un CMP ou un psychiatre

• Mise en place d’un emploi du temps de ménage simplifié

• Interventions régulières d’une aide à domicile

• Aménagements du logement : meubles fermés, espace dégagé, contenants hermétiques

• Réseautage avec la famille ou des associations locales de visite à domicile

Marseille et la solidarité face au syndrome de Diogène

Marseille : une ville particulièrement touchée ?

Selon l’INSEE, Marseille compte une part importante de logements anciens (pré-1950) et une population vieillissante. Les quartiers les plus concernés sont souvent :

• Belsunce

• Noailles

• La Belle-de-Mai

• Le Panier

• Le Canet

Ces zones combinent habitat vétuste, isolement social et précarité, autant de facteurs aggravants. Les logements collectifs mal entretenus multiplient les signalements liés aux nuisances et à l’insalubrité.

Des dispositifs d’aide à la personne

À Marseille, plusieurs structures sociales peuvent accompagner les personnes en détresse psychique :

• Le CCAS (Centre communal d’action sociale) de la ville

• Les CMP (Centres médico-psychologiques) des hôpitaux publics

• Les services du département (assistants sociaux, tutelles)

• Les associations comme l’Unafam (pour les familles de malades psychiques)

Ces structures peuvent orienter vers un accompagnement médical, psychologique et logistique (hébergement temporaire, mise sous protection juridique).

Le rôle des entreprises comme Extreme Clean Marseille

L’entreprise joue un rôle essentiel dans ce maillage de solidarité locale. Elle intervient en toute discrétion, avec rigueur, dans une logique de réhabilitation, de réinsertion et de reconstruction.

Le retour à la vie : après le nettoyage

Un logement nettoyé, c’est une page blanche. Mais pour que la rechute ne se produise pas, un accompagnement est nécessaire. Il est souvent recommandé de maintenir un suivi social et psychologique, de simplifier l’organisation du logement (meubles faciles à nettoyer, rangement simple), et d'impliquer les proches dans la surveillance bienveillante.

Ce n’est pas juste du nettoyage, c’est de la dignité restaurée

Le syndrome de Diogène reste un sujet tabou, souvent moqué ou mal compris. Mais il est le miroir de souffrances silencieuses. À Marseille, il est essentiel de replacer l’humain au centre, de s’entourer de professionnels compétents et sensibles à la situation, et de refuser le jugement au profit de l’action bienveillante.

Le rôle des entreprises spécialisées comme Extreme Clean Marseille ne se limite pas à faire place nette. Il s'agit aussi de tendre la main, de reconstruire un espace de vie et de dignité.

Tarifs indicatifs d’un nettoyage Diogène à Marseille

Les tarifs d’un nettoyage Diogène varient selon plusieurs critères :

• Le niveau de gravité du logement (modéré, sévère, extrême)

• La surface à traiter (studio, T2, maison complète…)

• La présence de nuisibles ou de déchets biologiques

• Les prestations complémentaires (désinfection, désinsectisation, débarras, remise en état…)

À titre indicatif, voici une fourchette des prix observés à Marseille :

• Intervention légère (30 à 50 m²) : à partir de 450 euros HT

• Nettoyage intermédiaire : entre 900 et 1800 euros HT

• Nettoyage Diogène sévère ou extrême (avec désinfection, bennes, dératisation) : de 2000 à 5000 euros HT voire plus pour les cas les plus lourds

Chaque intervention nécessite un devis sur mesure après visite sur place. Il est aussi parfois possible d’obtenir une prise en charge partielle via le CCAS, les assurances ou les aides sociales.

Exemples de demande de devis :

1. Appartement collectif de 60 m² à Marseille, quartier La Joliette, avec accumulation d'encombrants et infestation de cafards.

2. Maison individuelle de 120 m² à Aix-en-Provence, état insalubre suite à une négligence prolongée, présence de rats.

3. Studio de 20 m² à Arles, encombrement extrême et moisissures murales, demande de désinfection totale.

4. Appartement ancien de 80 m² dans le centre historique de Martigues, forte odeur persistante, besoin de désodorisation.

5. Logement social à Vitrolles de 50 m², accumulation de textiles et déchets alimentaires, risque sanitaire élevé.

6. Maison de ville à Aubagne, 150 m², syndrome de Diogène avec encombrement de plusieurs pièces et salissures organiques.

7. Appartement récent de 45 m² à Salon-de-Provence, problème de punaises de lit et accumulation de vêtements usagés.

8. Bâtiment collectif de 10 logements à La Ciotat, trois appartements touchés par le syndrome de Diogène, demande de nettoyage coordonné.

9. Studio étudiant de 25 m² à Marseille, encombrement mineur mais odeurs persistantes, besoin d'une désinfection rapide.

10. Pavillon familial à Marignane, 100 m², amas de cartons et papiers, demande de tri et désencombrement.

11. Duplex de 70 m² à Istres, ancien locataire atteint du syndrome de Diogène, nettoyage en vue de la relocation.

12. Foyer de jeunes travailleurs à Gardanne, espace commun encombré et mal entretenu, besoin de remise en état.

13. Appartement au dernier étage d'un immeuble à Port-de-Bouc, accumulation de détritus sur le balcon et dans la cuisine.

14. Studio à Fos-sur-Mer, mauvaise gestion des déchets, infestation de blattes et forte saleté des sols.

15. Maison de campagne isolée près de Châteauneuf-les-Martigues, meubles anciens envahis par la poussière et l'humidité.

Sources :

• INSEE, données démographiques Marseille 2022

• ARS PACA, rapports santé mentale 2020-2023

• CCAS Marseille, rapports d'activité

• DREAL PACA, étude sur l’habitat indigne à Marseille, 2021

• Publications scientifiques sur le syndrome de Diogène (Revue L'Encéphale, CNRS)